Harry et Meghan sont désormais plus riches que William et Kate

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Qui va finir le plus riche, William ou Harry ? Tous deux ont commencé leur vie d’adulte avec le même patrimoine, environ 30 millions de livres sterling, mais Harry est en train de prendre une sacrée longueur d’avance en signant des contrats juteux qui arrondissent un peu plus son magot… Dernier en date : l’accord des Sussex avec la plateforme Spotify, afin de produire des podcasts sur mesure autour de valeurs de partage et de tolérance en lien avec leur fondation Archewell.

Le montant du contrat n’a pas été révélé, mais selon The Mirror, il se situerait autour de 30 millions de livres sterling, soit près de 40 millions de dollars. Le quotidien britannique rappelle que le géant du streaming audio souhaite attirer nombre de célébrités pour produire des contenus attractifs – il a ainsi signé avec Michelle Obama ou Kim Kardashian, et disposerait d’un budget record de 200 millions de dollars pour étoffer son écurie…

Un nouvel accord qui vient donc s’ajouter au pont d’or conclu par les Sussex avec Netflix à la rentrée pour une somme estimée à 150 millions de dollars, pour fournir films et documentaires dans les années qui viennent sur la plateforme internationale. Ce qui porte à date leur business estimé à presque 200 millions de dollars, une sacrée somme qui servira à faire tourner leur fondation, leur boîte de production dédiée, payer leur secrétariat, leurs impôts… sans oublier leur marge personnelle. De quoi arrondir considérablement à terme leur fortune, estimée jusqu’alors à 36 millions de livres (environ 48 millions de dollars), 30 millions pour Harry et 6 millions pour Meghan, selon les chiffres publiés régulièrement par la presse britannique…

Bouchées doubles

Et ce n’est pas terminé : si les Sussex ont eu du mal à commencer leur nouvelle vie, en raison notamment du coronavirus venu bouleverser leurs plans, ils devraient mettre les bouchées doubles dans les prochains mois. Après la vidéo et l’audio, il reste à décrocher de juteux contrats dans l’édition et l’image, conférences, partenariats, parrainages qui vont logiquement se multiplier après le confinement et rapporter plusieurs centaines de milliers de dollars chaque année… Pour ce faire, Harry et Meghan sont gérés de près par l’agence Harry Walker, qui compte parmi ses clients les Obama, les Clinton ou encore Oprah Winfrey. S’ils continuent à bien mener leur barque, les Sussex pourraient se retrouver à terme à la tête d’un patrimoine considérable de plus de 100 millions de dollars, digne des plus grandes stars d’Hollywood…

En quelques mois, voilà Harry et Meghan devenus plus riches que William et Kate, dotés également de 40 millions de livres de fortune personnelle à eux deux, mais qui ne peuvent en aucun cas se lancer dans un business tous azimuts, en raison de leurs obligations officielles au sein de la couronne. Des engagements rétribués par le Sovereign Grant, l’allocation royale versée à Elizabeth II pour financer notamment les fonctions de représentations de la famille – une rente à laquelle a renoncé le prince Harry. Pour assurer son train de vie quotidien, le prince William reçoit également une aide de son père, évaluée à trois millions de livres annuels. On ne sait si Charles continue d’aider également Harry, mais on le voit mal abandonner complètement son fils au-delà de l’Atlantique…

Les Cambridge n’ont toutefois pas dit leur dernier mot sur le plan financier : quand Charles accédera au trône, le prince William pourra compter sur le fameux duché de Cornouailles, apanage de l’héritier de la couronne, qui rapporte chaque année une rente mirifique de 25 millions d’euros, dont il pourra disposer pour financer le train de vie de sa famille… De quoi arrondir sa pelote pendant quelques années face à son cadet entrepreneur et businessman. Au bout du compte, quand William sera roi à son tour, il sera certes à la tête d’une colossale fortune et de plusieurs châteaux, mais pour la plus grande partie seulement en tant que dépositaire. Pendant que Harry pourra jouir comme il l’entend de ses millions, s’il lui en reste…

Source: Lepoint.fr

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