Et quelques mois plus tard, l’entrepreneur FOTSO D. NGASSA monte son propre Centre de boucherie (qui approvisionne plus de 9 boutiques au quotidien) avec plus de 38 employés permanents,30 stagiaires et plusieurs grossistes. GAJO FRESH MEAT connaît une forte croissance sur tout le territoire Camerounais, précisément dans la capitale économique DOUALA et politique YAOUNDE ; et contre toute attente aussi en Afrique. Entre qualité de service, accessible des produits et satisfaction client, sa réputation n’est plus à faire. FOTSO D. NGASSA a su imprégner ses marques sur le marché et se rendre incontournable dans le domaine de l’élevage ainsi que du négoce de bétail (bovin, ovin et poulet Villageois).
Fin 2018, le promoteur FOTSO D. NGASSA a fait face à un litige foncier où il n’a pas pu gagner. Une situation très désagréable qui a conduit à la destruction de ses centres de boucherie. Celà entraîne automatiquement la fermeture de ses magasins, la cessation de ses activités et le licenciement de ses salariés. Un coup dur pour ce jeune entrepreneur qui a vu des années de dur labeur partir en fumée. Même si celà n’a pas été facile pour l’entrepreneur FOTSO D. NGASSA, ce dernier ne s’est pas découragé. Il garde son état d’esprit intact comme au premier jour, se fixant de nouveaux objectifs.
Ce dernier décide donc de revenir sur le marché du bétail et du commerce du bétail en 2022, mais cette fois avec une innovation inédite et percutante. C’est ainsi qu’est né GAJO LIVESTOCK. Une application de pointe qui regroupe les différents produits bio et frais que les ménagères consomment au quotidien. Ceux-ci incluent : viande fraîche, hachée et fumée, poulet frais du village et fumée, chèvre, mouton, poisson et fruits de mer. Toutes les collectivités sont représentées puisque FOTSO D NGASSA prend les mesures nécessaires (produits 100% halal, bio, frais, fumée et naturels) pour satisfaire tout le monde.
Un parcours digne d’un battant, qui n’a qu’une philosophie qui lui tient à cœur : « consommer mieux pour rendre le monde meilleur ». Ce jeune entrepreneur ne s’arrête que lorsque les habitudes et les modes de consommation des gens évolueront davantage vers des produits bio et sains.
Source – Afrimag
Source – culturebene
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