UN NOUVEAU VIRUS MORTEL EN INDE

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La maladie causée par le virus Nipah n’est pas aussi contagieuse que la Covid-19, mais ce virus figure parmi les plus mortels à avoir jamais infecté l’homme. La dernière épidémie causée par le virus en Inde a infecté 18 patients parmi lesquels 17 sont décédés. La maladie a une période d’incubation de 45 jours et à l’heure actuelle, aucun vaccin ni remède n’a encore été trouvé pour en venir à bout. Le taux de mortalité est estimé à 75 %, ce qui signifie que même une petite épidémie pourrait constituer une grande menace pour l’ensemble de la population.

D’autre part, ceux qui survivent à l’infection ont une probabilité de 20 % de développer des symptômes neurologiques à long terme.

Des mesures ont été prises rapidement

D’après CBS, les responsables de la région prennent la situation très au sérieux. Afin d’éviter toute propagation, ils ont identifié depuis le lundi 6 septembre dernier toutes les personnes qui ont été en contact avec le garçon. En tout, au moins 188 personnes ont été identifiées et elles ont tout de suite été testées et mises en quarantaine.

Une zone ayant un rayon de trois kilomètres autour du domicile du garçon a également été bouclée pour essayer de contenir physiquement l’épidémie au cas où l’on n’arriverait pas à retrouver tous ceux qui ont été en contact avec lui.

Selon les informations, jusqu’à présent, deux personnes présentent les symptômes de l’infection au virus Nipah. Il s’agit d’agents de santé ayant soigné le jeune garçon. Ils ont été hospitalisés et attendent actuellement les résultats de leur test. Il semblerait que d’autres cas d’infection ont également été confirmés.

Des mesures ont été prises rapidement

D’après CBS, les responsables de la région prennent la situation très au sérieux. Afin d’éviter toute propagation, ils ont identifié depuis le lundi 6 septembre dernier toutes les personnes qui ont été en contact avec le garçon. En tout, au moins 188 personnes ont été identifiées et elles ont tout de suite été testées et mises en quarantaine.

Une zone ayant un rayon de trois kilomètres autour du domicile du garçon a également été bouclée pour essayer de contenir physiquement l’épidémie au cas où l’on n’arriverait pas à retrouver tous ceux qui ont été en contact avec lui.

Selon les informations, jusqu’à présent, deux personnes présentent les symptômes de l’infection au virus Nipah. Il s’agit d’agents de santé ayant soigné le jeune garçon. Ils ont été hospitalisés et attendent actuellement les résultats de leur test. Il semblerait que d’autres cas d’infection ont également été confirmés.

Des mesures ont été prises rapidement

D’après CBS, les responsables de la région prennent la situation très au sérieux. Afin d’éviter toute propagation, ils ont identifié depuis le lundi 6 septembre dernier toutes les personnes qui ont été en contact avec le garçon. En tout, au moins 188 personnes ont été identifiées et elles ont tout de suite été testées et mises en quarantaine.

Une zone ayant un rayon de trois kilomètres autour du domicile du garçon a également été bouclée pour essayer de contenir physiquement l’épidémie au cas où l’on n’arriverait pas à retrouver tous ceux qui ont été en contact avec lui.

Selon les informations, jusqu’à présent, deux personnes présentent les symptômes de l’infection au virus Nipah. Il s’agit d’agents de santé ayant soigné le jeune garçon. Ils ont été hospitalisés et attendent actuellement les résultats de leur test. Il semblerait que d’autres cas d’infection ont également été confirmés.

La destruction de l’environnement en cause

Avec l’apparition de plus en plus de virus pouvant infecter les humains, les  scientifiques craignent actuellement que les pandémies ne deviennent plus courantes. Anthony Fauci, conseiller médical en chef de la Maison Blanche, a déclaré récemment que l’humanité était entrée dans une ère de pandémies dans laquelle les épidémies de virus ne feront que se multiplier, et le Nipah en fait partie.

L’une des raisons pour lesquelles le Nipah ne cesse d’apparaître en Asie du Sud-est est la destruction de l’environnement. Les animaux sauvages, y compris les espèces de chauves-souris supposées héberger le virus, se retrouvent en effet de plus en plus en contact avec les humains suite à la perte de leurs habitats naturels.

Pour éviter d’autres cas d’infection, les autorités du Kerala ont recommandé aux habitants de ne pas s’approcher des chauves-souris et d’éviter de consommer les fruits ayant des marques de grignotage laissées par ces animaux.

Source: Fredzone

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