Lynda APHING-KOUASSI, DG de KAIZENE : ”Avant tout, pour booster sa carrière, il faut commencer par décider, ensuite prendre le risque …”

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KAIZENE a réussi à se forger une solide réputation sur le marché de la formation et de l’accompagnement des PME. Créé par Lynda APHING-KOUASSI en 2015, le cabinet promeut une approche de la formation axée sur l’humain et facteur de productivité, et aussi de réalisation personnelle.

Transfuge du secteur bancaire qui a su gravir des paliers, passée de ‘’caissière” à ‘’directrice d’investissement”, Lynda APHING-KOUASSI aborde dans cet entretien sa vision qui s’inspire de sa propre expérience.

En 7 ans, le cabinet KAIZENE que vous dirigez est parvenu à se distinguer par ses approches sur le marché ivoirien. Comment appréhender ce cabinet ?

Kaizene est un cabinet international spécialisé dans trois domaines d’intervention : le renforcement de capacités, l’accompagnement des PME/TPE, l’organisation de conférences Institutionnelles et la modération.

La singularité du cabinet est qu’il accorde une grande importance au capital humain favorisant l’éclosion ou l’essor économique au travers de prises d’initiatives d’engagement et d’impact au travers de la méthode d’amélioration continue mettant l’humain au-devant de tout. Nos formations sont faites sur-mesure avec un mix comportemental et théorique. Se découvrir pour nous représente le début du succès et offrir des formations répondant aux besoins des employés avant tout, assure la productivité. Nos activités sont destinées à un large public varié, multinationales, institutions, les gouvernements, et avec un accent sur l’insertion des jeunes et l’autonomisation des femmes du secteur agricole.

Comment expliquer que d’un riche parcours dans la finance à l’international, l’on fasse le choix de se consacrer au domaine du renforcement de capacités au point d’en faire son métier ?

La richesse de mon parcours est principalement due à la formation continue ; l’audace, la détermination, la rigueur et le travail. L’amélioration de mes compétences a eu un impact positif sur ma vie et j’ai voulu partager cette solution avec d’autres personnes afin qu’elles puissent se découvrir et atteindre leurs objectifs.

Ainsi, j’ai décidé d’apporter ma fine touche en donnant un nouveau souffle à la formation, en particulier en Côte d’Ivoire et en Afrique. La formation antérieurement était vue comme un bouche-trou et était perçue négativement ou absente en entreprise.

J’ai voulu répondre à un besoin apparent mais surtout avec une méthode novatrice et différente.
J’ai voulu répondre à un besoin apparent mais surtout avec une méthode novatrice et différente. La valorisation du capital humain, la promotion des valeurs humaines et la création d’une culture d’entreprise avec des valeurs et missions partagées par tous favorisant l’atteinte des objectifs d’entreprises.

Les femmes en quête de nouvelles compétences ont-elles généralement des demandes spécifiques de formation ? Quelles sont-elles ?

Les femmes n’ont pas besoin de formation différentes de celles des hommes, elles ont beaucoup plus besoin de coaching favorisant la confiance en elles et le retrait du syndrome de l’imposteur.

Quelles sont les compétences ou parcours de formation que vous leur conseilleriez pour booster leur carrière, spécialement dans la finance que vous connaissez bien ?

J’ai démarré comme caissière dans une banque commerciale pour terminer ma carrière à la banque comme directrice des investissements.
Comme je le disais tantôt les formations n’ont pas de genre, elles sont sur-mesure chez nous et recommandées après un échange gratuit fait avec les bénéficiaires. Avant tout, pour booster sa carrière, il faut commencer par décider, ensuite prendre le risque de faire ce qui nous plait, nous passionne ; surtout si nous savons que nous allons apporter une valeur ajoutée.

 

source – SikaFinance

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