« Vous avez des rendements de l’ordre de sept tonnes à l’hectare, alors qu’on peut aller jusqu’à 15 tonnes pour la même superficie. Notre rôle en tant que structure étatique est de structurer ces petits producteurs, renforcer leurs capacités et dans la mesure du possible trouver des moyens pour augmenter la production (…), surtout que nous avons suffisamment de capacités de transformation », explique le ministre de l’Agriculture, Gabriel Mbairobe.
Pour ce faire, apprend-on, en plus des appuis multiformes aux petits producteurs, le programme gouvernemental sus-mentionné se propose de réhabiliter et de régénérer tout ou partie des 25 000 hectares de palmeraies villageoises actuellement à l’abandon, selon les données du ministère de l’Agriculture.
L’atteinte des objectifs que s’est fixés le Projet de développement du palmier à huile et de l’hévéa devrait permettre de réduire les importations d’huile de palme brute. En effet, face à un déficit structurel officiellement estimé à 130 000 tonnes, le pays fait généralement recours aux importations pour garantir l’approvisionnement des unités de transformation.
Source: Investir au Cameroun
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