7 bonnes résolutions bien-être à prendre en 2021 selon une naturopathe

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Je bichonne ma flore intestinale

Chez un adulte de 60 à 70 kg, la flore intestinale pèse environ 2 kg. Or, c’est dans nos intestins que se fabrique la majeure parte de la sérotonine, responsable, comme son nom l’indique, de la sérénité. Elle intervient également dans la fabrication de la mélatonine, qui favorise l’endormissement. Deux bonnes raisons de la chouchouter ! Essentiellement constituée de bactéries, la flore s’équilibre grâce à une alimentation de qualité. « La consommation de légumes ou de boissons lactofermentées telles que le kéfir, le kombucha et des produits de la ruche comme le pollen frais de ciste ou de châtaignier est très bénéfique pour notre flore », indique la naturopathe.

Je marche au moins 30 minutes par jour

La tendance à la sédentarité, aggravée par la crise sanitaire, est dommageable pour le corps comme pour le moral. « Lorsqu’on pratique un exercice physique, même modéré, les hormones produites, les endorphines, peuvent atteindre au bout de 20 à 30 minutes jusqu’à 10 fois la quantité normalement présente dans l’organisme ! », révèle Christine Cadoux. Alors, pour favoriser la bonne humeur sans se lancer dans les grands travaux d’Hercule, on mise sur des astuces faciles : se garer à 500 mètres du lieu de rendez-vous, emprunter les escaliers plutôt que l’escalator ou l’ascenseur, descendre une station de métro plus tôt…

Je m’hydrate suffisamment et correctement

S’hydrater suffisamment est la garantie d’une jolie peau, d’un transit équilibré et d’une bonne santé mentale. Et si une bonne partie de l’eau est apportée par les légumes crus ou cuits en cuisson douce, il est conseillé d’en boire 1 à 1,5 litre chaque jour. Mais pas question d’en ingérer la totalité d’un seul coup ! La bonne méthode ? « Boire régulièrement, en petites quantités et plutôt en dehors des repas une eau faiblement minéralisée dont le résidu à sec est inférieur à 100 mg/l et dont le Ph est situé entre 6 et 6.9 pour solliciter le moins possible nos reins », selon la naturopathe. On peut également envisager une cure annuelle de plasma de Quinton ou d’eau hydroxylase.

J’essaie les graines germées

En naturopathie, les graines germées sont considérées comme des superaliments, au même titre que les algues, les champignons et les produits de la ruche. Et la connaissance de leur teneur élevée en substances nutritives ne date pas d’hier ! Les graines germées étaient « consommées par les marins au XIème et XIIème siècle pour éviter le scorbut, enseigne Christine Cadoux. On retrouve même leurs traces chez les Esséniens en Palestine qui préparaient un pain à base de blé germé écrasé et séché au soleil : le pain essène ».

Je pratique le Pilates

« La méthode inventée par Joseph Pilates permet de développer les muscles profonds et d’améliorer la posture pour un entretien, ou une restauration des fonctions physiques », précise la naturopathe. C’est une pratique physique facile à pratiquer chez soi avec des vidéos sur Internet ou avec un coach sportif.

Je vis dans un environnement sain

Pour éviter les perturbateurs endocriniens, on pense à bien aérer quotidiennement. On installe également quelques plantes dépolluantes faciles à cultiver : le pothos, le chlorophytum, le spatiphyllum, le palmier nain ou encore le palmier bambou.

Je nourris mes relations

La crise sanitaire empêche de nombreux Français de rendre visite à leur famille et à leurs amis. Mais cela de dispense pas de prendre des nouvelles et de renouveler les petites attentions ! « Mark Twain disait“Seul, on avance plus vite, ensemble on va plus loin”, rappelle Christine Cadoux. Nous avons besoin des autres pour être heureux, il est important de se poser la question “où en sont mes relations ? ” et de les nourrir par la bienveillance, l’écoute et la gratitude ».

Source: femina.fr

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