Dissidents ? Oui, mais souvent pour des bonnes raisons. Ces anciens salariés ont tous quitté leur entreprise pour ouvrir, dans le même domaine d’activité, leur propre structure. Et avec elle, la boîte de Pandore des galères judiciaires.
« ‘T’es une traître’, m’a dit une collègue. Je suis partie dans un climat affreux, personne ne voulait me parler dans l’open space. C’était dur », se remémore Solenn*. Pourtant, elle n’avait raconté son projet à personne. Mais les rumeurs avaient circulé dès l’annonce de son départ.
Avec Philomène*, elles sont toutes les deux parties de leur ancienne entreprise dans les services (sans volonté de donner plus de précisions) pour créer une société similaire. « Dans notre activité, c’est classique de partir pour créer sa propre structure. Il y a peu de barrières à l’entrée et on récolte rapidement le fruit de son travail », raconte cette dernière. Elles ont négocié une rupture conventionnelle . Cela leur permettait de toucher le chômage pendant plus d’un an, un coussin de sécurité pour lancer leur activité.
Source: start les échos
Articles Connexes
Yves Castanou (photo), le directeur général Congo ...21st Oct 2021
Les membres de l'Opep+ se sont réunis ce dimanche ...07th Déc 2022
Depuis son arrivée en Tanzanie en 2016, la société...23rd Jan 2023
Selon la banque centrale, sont éligibles à cette o...20th Sep 2021