Dissidents ? Oui, mais souvent pour des bonnes raisons. Ces anciens salariés ont tous quitté leur entreprise pour ouvrir, dans le même domaine d’activité, leur propre structure. Et avec elle, la boîte de Pandore des galères judiciaires.
« ‘T’es une traître’, m’a dit une collègue. Je suis partie dans un climat affreux, personne ne voulait me parler dans l’open space. C’était dur », se remémore Solenn*. Pourtant, elle n’avait raconté son projet à personne. Mais les rumeurs avaient circulé dès l’annonce de son départ.
Avec Philomène*, elles sont toutes les deux parties de leur ancienne entreprise dans les services (sans volonté de donner plus de précisions) pour créer une société similaire. « Dans notre activité, c’est classique de partir pour créer sa propre structure. Il y a peu de barrières à l’entrée et on récolte rapidement le fruit de son travail », raconte cette dernière. Elles ont négocié une rupture conventionnelle . Cela leur permettait de toucher le chômage pendant plus d’un an, un coussin de sécurité pour lancer leur activité.
Source: start les échos
Articles Connexes
Dans la foulée de la journée internationale du Sid...08th Déc 2022
Le patron de BUA Group a vu la valeur marchande de...24th Oct 2022
En Afrique, le marché des boissons sucrées affiche...06th Juin 2022
Il ne manquait certainement plus que la Côte d'Ivo...20th Déc 2022