Avec la révolution technologique, les solutions d’e-santé se multiplient et s’imposent dans certains pays du continent comme des alternatives intéressantes pour maintenir les populations en bonne santé.
MyHealth Africa est une solution d’e-santé développée par une jeune pousse kényane. Elle permet aux utilisateurs, en l’occurrence les patients, de prendre rendez-vous avec des médecins spécialistes de diverses affections. La healthtech, basée à Nairobi, a été fondée en 2017 par Ryan Marincowitz. Elle a récemment levé un montant de 1 million $ pour, entre autres, soutenir sa croissance sur le continent et au-delà.
« Les capitaux levés au cours de cette période seront utilisés pour nous aider à nous développer en Afrique, au Moyen-Orient et en Asie du Sud, afin de nous rapprocher de notre objectif de transformer la manière dont les patients du monde entier accèdent aux services de santé spécialisés. L’avenir de la technologie de la santé en Afrique et sur les marchés émergents est brillant, et nous sommes ravis d’être à l’avant-garde, ouvrant la voie à des services de santé de qualité dans la région et au-delà », a indiqué Ryan Marincowitz.
La solution dispose d’une application mobile uniquement accessible sur Android. L’utilisateur, après téléchargement, devra créer un compte pour accéder aux diverses fonctionnalités. Néanmoins, sur la plateforme web, il est possible de surfer pour en apprendre davantage sur le système. Il peut voir plusieurs profils de médecins où il est renseigné un certain nombre d’informations comme la spécialité, les langues parlées, les disponibilités, etc. En fonction de votre affection, de la langue que vous parlez, vous portez votre choix sur un spécialiste plutôt qu’un autre.
L’application a été téléchargée plus d’un millier de fois, selon Play Store. Quant à la start-up, elle revendique environ 26 000 visites médicales, en intégrant plus de 1 500 professionnels de santé, cliniques et hôpitaux dans le monde entier. Avec cette levée de fonds, les ambitions de MyHealth Africa sont revues à la hausse. Elle compte investir plusieurs marchés africains et asiatiques d’ici l’année prochaine.
Source: we are tech.africa
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